Chapeau bas, panama !
La science des chapeaux m’échappe quelque peu. Je veux bien les porter, mais je ne sais pas toujours comment ils s’appellent. C’est comme ça que j’ai découvert que ce que je nomme amoureusement mon « panama liberty »(que j’ai acheté chez Jennyfer) n’en est pas un. Un panama a les bords beaucoup plus larges : comme ceci :
Mon chapeau liberty, donc, n’est pas un panama, c’est peut-être un borsalino ? Surement même, puisque Monoprix, qui vend quasi le même en bleu l’appelle bien Borsalino. « Bor-sa-li-noooo », c’est un mot agréable à dire, je trouve.
J’aurais pu opter aussi pour un trilby (celui-ci provient de la boutique Roland Garros et coute 90€. Vous vous souvenez du parapluie Roland Garros ? Et bien le chapeau est deux fois plus cher. Le soleil, c’est plus cher, c’est comme ça.
Ou carrément une capeline (je flashe sur celle-ci) :
Parce que oui, au cas où on ne vous l’aurait pas dit, le Bob Perrier vert, c’est fini, ce n’est plus possible, même à Roland Garros, c’est le fashion faux pas assuré. Dans les loges Roland Garros maintenant, le it-chapeau c’est le panama. Et puis voilà.
Et, vous quel est votre chapeau de l’été ?