Au boulot comme en sport, on veut être per-for-mant. En cette période de bonnes résolutions et de bilans annuels, repartons from scratch avec quelques tips user-friendly pour mutualiser son sport préféré et son travail adoré. C’est parti pour incuber ASAP un mindset win-win calendaire pour 2025 !
J’ai eu besoin du bullshitor pour optimiser ce verbatim, next steps : action !
Bilan annuel
Au moment de votre entretien annuel avec votre boss, vous avez pu débriefer l’année écoulée, faire la big picture de ce qui a fonctionné, ce qui a été difficile (« challengeant« ), vos succès, vos apprentissages. Profitez-en pour faire pareil avec votre sport préféré, combien d’heures vous avez pu y consacrer, si vous avez du parfois le sacrifier. Passion analyse des data et metrics !
Astuce : si vous êtes au forfait jours, vous travaillez 215 jours par an, essayez d’avoir autant de journées avec une activité sportive même très courte (yoga, renfo, vélo, course…) Bonus : vous pouvez gagner pendant vos congés !
Objectifs 2025 et planification
La suite logique, c’est bien sûr regarder vers le futur et se fixer de nouveaux objectifs ! Comme côté pro, pensez SMART (spécifique, mesurable, atteignable, réaliste et temporellement défini) pour vos prochains challenges sportifs. Ne voyez ni trop gros ni trop petit et surtout profitez-en pour planifier ! Evitez de prévoir un marathon qui vous demandera une prépa sur la période la plus chargée de votre travail ! Pensez-y pendant votre benchmark de LA course à faire en 2025… (par exemple, le marathon de Sydney peut se placer pendant la fermeture estivale)
Posez les congés autour de vos gros objectifs sportifs dès que possible, pour pouvoir anticiper au maximum et cartographier votre saison sur une année glissante.
Demande de formations
Vous n’y couperez pas : Excel et anglais côté pro, PPG et étirements côté sport. A vous les bonnes résolutions ! Le moment parfait pour upgrader votre attractibilité. Mettez en avant les skills que vous apporte le sport dans votre job pour maximiser votre valeur ajoutée.
Votre coach vous fera peut-être passer par les cross, car c’est l’école de la vie en course à pied. Vous y apprendrez à bien vous placer et à serrer les dents dans les difficultés.
Négociation d’augmentation
Cette année c’est l’inflation ! Mais évitez tout de même de prévoir une augmentation trop importante de votre kilométrage mensuel, sous peine de burn-out des genoux ! On dit qu’il ne faut pas augmenter de plus de 25% la distance courue chaque semaine. Peut-être qu’il en va de même pour le salaire chaque année ? Rationalisez vos entrainements impactants pour transformer les objectifs cibles.
Droit à la déconnexion
Essayez de ne pas trop penser à votre sport quand vous travaillez, ni à votre boulot quand vous courez ! Switchez d’un mode à l’autre pour mutualiser les bénéfices. N’oubliez pas de prévoir des périodes de repos de l’un, de l’autre ou des deux, pour garder votre fraîcheur tout au long de l’année. Opération self-care !
La récupération sportive, c’est un peu la RTT du boulot : les deux ont une importance capitale dans votre équilibre annuel. Pensez à les placer stratégiquement !
Réunionnite aïgue
Cette année c’est décidé, vous ne manquerez plus les séances d’entraînement collectif de votre club !
Astuce pour habituer vos collègues à ce que cet horaire devienne incompressible pour vous : créez un meeting récurrent sur outlook (exemple tous les jeudis soirs) pour vous marquer comme indisponible.
Les réunions et les séances d’entraînement ont beaucoup de points communs. Il faut être à l’heure, participer de manière proactive, respecter l’ordre du jour, et faire un compte-rendu (sur Strava). Vous voilà en terrain connu (la piste).
Productivité en télétravail
Le gros avantage du télétravail, c’est qu’on peut être efficace en tenue de running et être plus productif à la pause déjeuner ! Une sorte de digital workplace multi-canal, idéale pour assurer en brainstorm Teams ET en séance d’entraînement.
Choisissez vos jours de télétravail en fonction de votre planning sportif pour maximiser le temps disponible. Et pour ouvrir ou fermer votre journée de travail, prévoyez un petit yoga à la place du trajet !
Astuce : vous pouvez aussi profiter des jours en présentiel pour on-boarder vos collègues sur une séance de sport à la pause déjeuner, l’occasion parfaite pour faire du team building transverse.
Convivialité
Votre sport va forcément vous faire manquer des moments de convivialité au boulot… Vous allez fatalement passer pour le rabat-joie : « un afterwork ? ah non je peux pas j’ai une course dans 10 jours« . Essayez de trouver l’équilibre pour vous rendre disponible quand il le faut vraiment, et refuser ce qui peut l’être. Infusez votre passion sportive dans la tête de vos collaborateurs, ils comprendront.
Apprenez à flexibiliser, et capitalisez sur les moments conviviaux après vos gros objectifs. Effet whaou garanti si vous avez un beau chrono à évènementialiser !
Optimisation du timing
A l’approche de votre deadline (votre compétition), n’hésitez pas à maximiser les opportunités de timing pour intégrer du sport à votre planning bien chargé. Solutionnez les challenges du calendrier en convertissant tous les slots disponibles en moment sport-friendly. Miracle morning, lunch & run, trajets en courant, afterwork sportifs… Soyez agiles !
Personnal Branding
Il y a le savoir, le faire, et le faire savoir ! Parlez de votre passion, valorisez votre brandformance, écrivez un post qui fait sens au sujet de votre marathon sur votre profil Linkedin. Trustez les conversations omni-canal, mais pas trop quand même !
Vous avez désormais toutes les cartes en mains pour relever haut la main tous les challenges de 2025. À vous de jouer !