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Boost la nuit blanche à Paris (en violet)

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Samedi soir, en rentrant d’une semaine de surf haute en couleurs (les combi fluo ont toujours la cote), j’avais promis de venir courir la nuit blanche avec adidas. La nuit tous les chats sont gris, mais j’avais tout de même pris une tenue de sport noire au cas où il n ‘y ait plus ma taille dans les tenues fournies. Noir comme un cafard de retour qui commençait un peu à s’installer, longue pour cacher l’énorme bleu que j’ai toujours sur la cuisse (il est plutôt violet en ce moment d’ailleurs).

J’avais déjà fait une session running boost paris en mars, il y avait pas mal de jaune fluo et ça avait illuminé Paris et son ciel un peu gris de fin d’hiver, j’étais donc assez enthousiaste de renouveler l’expérience. En cette chaude journée d’été indien, la veille j’étais en maillot de bain, je me suis retrouvée pourvue d’un legging d’hiver doublé polaire, mais qui fait des jambes de gazelle, d’une veste violette à manches bouffantes imperméables (oui c’est possible), qui ferait pâlir l’intégralité du club des amoureux du violet (oui ça existe aussi), et d’une nouvelle paire de chaussures de running à technologie Boost, elles aussi Purple Addict forever. Je voulais des roses ou au moins les purple + pink que j’ai trouvées sur l’instagram adidas women, et je voudrais toujours pouvoir courir, jambes nues au soleil, bronzitude et short de running. (On peut aller Booster Hawaii ?)

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photo Instagram adidas women

Mais peu importe, mon équipe très force violette aussi, constituée notamment de Betty, Marygribouille, Angie , Salama et d’autres filles au top, étions désormais parées à courir la nuit blanche, pour un petit parcours (7km) de running dans le quartier des halles, réaumur & co. La nuit (blanche), tous les chats ne sont pas gris, et nous nous sommes volontiers pliées à la photo de team avant le départ. Dites cheese, petites souris, et sortez votre sourire le plus white (ce que j’ai oublié de faire, bonjour la tête d’abrutie).

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Je n’avais jamais fait la nuit blanche, force (violette) est de constater que nos premiers stops du secteurs Marais-République ont été quelques peu étranges, mais ensuite nous avons plus ou moins fait la tournée des bars en courant, pour dire bonjour aux gens. Nous avons même effectué  une mini  pause ravitaillement gorgée de bière blonde. Finalement ça aide à courir. Il y a eu aussi quelques jolis arrêts, avec de beaux effets de lumière : « Anamorphose » à l’église saint merry, et le « mythe de l’Olmype » aux Archives Nationales.

Côté running, je connaissais déjà la technologie Boost, et l’amorti de la chaussure révolutionnaire. Je dois avouer que, purple or not, j’aime assez l’effet produit. J’ai eu une ampoule au talon, mais c’est sans doute que je n’avais pas porté de socquettes blanches et de chaussures fermées depuis des lustres.

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En tout cas, nous avons bien illuminé Paris et les passants étonnés. « yen a qui courent ! » fusaient sur notre passage aussi vite que notre dernier kilomètre avalé, un peu avant minuit, avant l’apéro dinatoire qui nous attendait.

Pendant ce temps, l’oiseau bleu se chargeait de relayer nos points réseaux sociaux, car même en courant, on ne s’arrête jamais.

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La prochaine fois, je prendrais l’option 9km avec shooting photo, comme ça je pourrais colorer-booster mon run et mon blog, mais là, j’avais les 10km roses d’odyssea le lendemain, j’ai préféré rester raisonnable et sobre. On parle bien de couleur, même si j’ai décliné le shot violette-vodka qui aurait pu cependant être dans le thème.

Car il y aura une prochaine fois hein ?

Marie

rédactrice web freelance, j'écris depuis quinze ans sur mon blog Graine de Sportive, et j'ai collaboré avec plusieurs médias. Contactez-moi pour me confier vos besoins sports et bien-être !

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