Si Rafa Nadal s’est fait porter pâle pour le BNP Paribas Masters de Paris-Bercy, Roger Federer, lui, après s’être fait Bâle, compte bien porter la coupe à Paris.
Arrivé avec les dents qui rayent le dur indoor, Federer, est en ce moment dans les beaux discours, limite bluff. Je vais redevenir numéro 1 par ici, je peux encore gagner des Grands Chelems par là, en passant par des ambitions toutes parisiennes à l’aube d’un des derniers Masters 1000 de l’année.
La preuve, en interview, à peine arrivé à Paris, il a dit : « J’aimerais gagner Bercy », si ça ça n’est pas clair comme déclaration je veux bien manger sa casquette RF bleue.
S’il a déjà bouclé son calendrier 2012, achetable sur son site officiel, il n’a peut-être pas encore dit son dernier mot pour l’année 2011. On entendra peut-être parler de lui à Paris-Bercy, donc, puis à Londres au Masters.
L’année dernière à Paris, il a chuté face à Gaël Monfils. Cette année il aura à nouveau du joueurs français dans les pattes, Richard Gasquet et on l’espère, pourquoi pas Gilles Simon. Gael Monfils (finaliste malheureux) et Novak Djokovic sont dans l’autre partie du tableau.
Je n’ai pas trouvé d’infos précises sur sa tenue (oui c’est important, j’aimerais le voir un jour en rose avant la fin de sa carrière. Nadal l’a bien fait), mais je suis tombée sur un blog dont la ligne éditoriale est : « Federer a du style, résumons son parcours », j’aime.
Je n’ai encore jamais assisté en vrai au BNP Paribas Masters de Paris Bercy, mais ce jour est enfin arrivé : demain mardi soir, grâce à nos amis de vente privée et mercredi en journée grâce à mes amis de la FFT. J’espère voir Roger jouer, et bien jouer. Un Roger à la hauteur de ses (mes) ambitions.