« De l’air ! de l’air !
C’est juste une question de surviiiiiie »
Pardon pour cette chanson des L5 que j’ai eu dans la tête pendant tout le pic de pollution en repensant à ce run en forêt qui date de juste avant. Je cours la plupart du temps à Paris, mais j’ai décidé de profiter de toutes les occasions de courir dans des endroits où l’air est plus respirable. Quand je ne suis pas en Bretagne, ce sont les Yvelines qui me servent de terrain de jeu. Cette histoire de pollution (et la toux que j’ai eu pendant 15 jours) m’ont fait pas mal réfléchir, et j’ai préféré évité de courir au plus fort de la période particules. Parfois mieux vaut une petite pause que forcer sur des bronches déjà un peu irritées.
Je ne sais pas vraiment si les médias exagèrent et nous fait flipper ou si inversement on nous cache des choses sur ce qu’on respire, mais dans le doute : pollution = fuyons.
Quand on ne voyait plus la tour Eiffel, je regardais ces photos de la forêt où j’ai été courir avec mon frère juste avant. (Je ne vais pas dans la forêt toute seule, parce que je suis une trouillarde et j’ai surtout peur de me perdre). L’occasion de se remettre à courir pour lui, une chance de pouvoir pendre l’air un peu plus loin pour moi.
J’en ai profité pour sortir (et faire photographier) une tenue de running plus printanière : première sortie du collant « mi-mollet » (Nike), et touche de rose bien flashy avec ce top Roxy Outdoor Fitness. Chaussures de running (noires une fois n’est pas coutume) Boost d’adidas).
J’ai très bien couru ce jour là, peut-être à cause du soleil, de l’air frais juste ce qu’il faut, de la vue, de la compagnie de mon frère, mais je veux une session comme ça toutes les semaines !